Le tatouage et la petite fille

La science a démontré depuis longtemps que nous sommes avant tout des êtres  énergétiques et que la pensée est une énergie. 

L’exemple ci-dessous illustre la capacité des enfants très jeunes à capter ces énergies qu’ils peuvent assimiler à des monstres ou a des fantômes dans leur chambre.

*Le nom de la personne ci-dessous a été modifié pour conserver son anonymat.

Jade* a 15 mois et depuis peu se met à hurler au moment d’aller dormir alors que ce n’était pas le cas jusqu’à présent. Elle insiste pour rester avec ses parents et ne s’endort plus qu’en leur présence.

La séance fait remonter le début des troubles à une date précise trois semaines auparavant. Je demande aux parents ce qui s’est passé ce jour-là. Apparemment rien de spécifique.

Pris d’une intuition, son père appelle sa maman, la grand-mère de Jade, pour lui demander la date précise d’un évènement qu’elle confirme.

Ce jour-là, la grand-mère de Jade s’est fait tatouer le prénom de sa petite fille sur le bras, c’est depuis ce soir-là que la petite fille hurle de peur.

Derrière un tatouage il y a une énergie. En tatouant sur elle le prénom de sa petite fille, elle a créé une connexion mentale avec Jade. Or, l’extrême sensibilité d’un enfant de cet âge capte cette connexion qui lui donne l’impression qu’il y a une inconnue dans sa chambre.

Un rééquilibrage énergétique a neutralisé cette connexion et Jade s’est endormie le soir-même sans aucun cri.

Pour rappel, dans une telle séance, il ne s’agit en aucun cas de retourner dans le passé pour aller y revivre une souffrance mais d’aller à la recherche de la source originelle d’un conflit émotionnel inconscient et non résolu afin de l’identifier d’une part, et de le neutraliser d’autre part.

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